Vendredi 26 octobre, en attendant d’avoir des nouvelles du 3977, je tente l’email suivant :
cabdgpn.deleg-victimes@interieur.gouv.fr
J’envoie le mail vers 7h30. 9h30, je reçois un accusé de lecture.
12H00 : une voie féminine me demande :
- « Mr Patrice Chassaing ? »
- « Oui »
- « Ministère de l’intérieur, vous nous avez envoyé un mail parlant de XXX »
- « Oui, c’est cela »
- « Nous ne pouvons traiter votre requête, car il n’y a pas besoin d’une intervention des forces de l’ordre »
- « Ok, mais il y a quand même des personnes potentiellement en danger, des victimes, et puis j’ai lu dans certaines pages de vos sites webs que certains faits dénoncés peuvent entrer dans ce cadre. »
- « je vais voir avec mon chef … »
- « Je suis désolé mais il faudrait plus entrer en contact avec le ministère des affaires sociales … »
- « D’accord, vous pouvez leurs faire suivre »
- silence
- « Parce-que des adresses emails, vous en avez des tonnes, alors pour trouver la bonne ! »
La conversation se finit cordialement. Plutôt efficace, mais est-ce que cela portera ces fruits ?
Le reste, j’en sais rien. Je suis sûrement fiché pour activité subversive ou un truc de ce genre, alors que c’est moi qui essaye de sauver des gens : qu’il fait bon être du côté des dénoncés …
3977 ? Non, rien.